Les élèves commencent de plus en plus tôt à partager de l’information via les réseaux sociaux comme Facebook, Ask, Twitter et Google + mais aussi via les plateformes de partage comme Snapchat, Youtube… ou encore les outils de communication comme Skype. Les élèves se dévoilent par l’écrit mais aussi par les photographies, se filment sans réfléchir à « l’après partage ». Cependant, que reste-t-il de ces informations publiées au temps de l’adolescence à l’âge adulte lorsqu’on sait que les outils utilisés appartiennent en majorité à des entreprises américaines. Or, les Etats-Unis ne reconnaissent pas la vie privée comme un droit fondamental. Ainsi, pour eux, les données sur Internet appartiennent à ceux qui les traitent.